A
l’image de sa personnalité, Robert Mallet a
poursuivi un
double itinéraire d’homme de lettres et
d’homme d’action
– les deux étant étroitement
liés – Il
a été poète, romancier, dramaturge,
critique
littéraire, écologiste, mondialiste,
haut fonctionnaire – Recteur des académies
d’Amiens
et de Paris – fondateur de l’AUPELF (Association
des Universités Partiellement ou Entièrement de
Langue
Française), initiateur du Comité
d’Ethique etc. Son
œuvre s’avère d’une
étonnante richesse et complexité.
Humaniste,
avant tout, Robert Mallet, préoccupé par le
devenir de
l’Homme insiste sur la nécessité
d’une morale,
qu’elle soit individuelle ou sociale.
«
La
morale, dit-il, c’est un rapport avec la façon de
vivre,
de sentir... c’est l’application des
mœurs dans une perspective
d’éthique... si l’avenir du monde veut
être
fraternel, s’il veut éviter les
désastres, les
pouvoirs incohérents des hommes
les uns sur les autres, il doit être moral... »
Jacques
Mouha, ancien collaborateur de Robert Mallet
Les
“Réflexions” de Robert Mallet, fruit
d’une
réflexion sur soi confrontée aux
réalités
de ce monde et porteuses d’un
message, nous aident à mieux saisir
l’écrivain humaniste.
Henri
Heinemann, poète et romancier